à la Vie,
sans Qui je ne l’aurais pas.
(Aux deux sens du mot...)
Muriel a été confrontée à la maladie, l’une des plus terribles qui soient: le cancer.
Soutenue par l’amour de son mari et entourée de l’affection de ses enfants, elle a dû lutter non seulement contre la maladie mais aussi durement affronter le système médical actuel et lutter aussi pour conserver son intégrité animique et corporelle, en particulier s’opposer à la mutilation.
Son témoignage parlera fortement à beaucoup, en particulier aux malades, en particulier à ceux, hélas toujours plus nombreux, qui développent – et non «attrapent»! - cette maladie, en particulier aux femmes, et même tout particulièrement à celles qui sont atteintes de la même forme de cancer, parce que ce témoignage est profondément authentique et qu’il touche à proportion de la grande sincérité de l’auteur, laquelle a beaucoup souffert.
Le témoignage de Muriel nous rappelle que:
«L’homme est un apprenti, la douleur est son maître,
Et aussi - à condition, bien sûr, qu’elle soit courageusement affrontée - que:
«Rien ne nous rend si grands qu’une grande douleur».[2]
Et c’est aussi l’occasion de s’initier à un Savoir qui, au sujet du processus de la maladie, fait aussi intervenir la connaissance des autres dimensions de l’Être et, en particulier, celle du psychisme.
Dans sa soif de comprendre, savoir et reconnaître, Muriel «dévore» alors les nombreux livres de différents auteurs qui ont déjà compris qu’un corps humain n’est pas seulement, selon l’expression du Docteur Geerd Ryke Hamer, «un sac rempli de formules chimiques» mais, d’abord et avant tout, le temple le plus extérieur d’une âme et même, pour quelques-uns, d’un germe d’esprit humain en cours d’évolution.
Cela change beaucoup de choses et même, à l’arrivée, tout, y compris dans le domaine de la santé et de la maladie.
Sa quête la conduit alors, pour finir, jusqu’à rencontrer et vouloir parcourir «Le Chemin de la Santé Parfaite» au sujet de laquelle, pendant sa maladie, elle s’est trouvée initiée dans les extra-ordinaires circonstances qu’elle raconte elle-même dans son récit.
Pour accéder à cette Santé Parfaite il est aujourd’hui nécessaire de franchir encore un «saut quantique» en comprenant et reconnaissant les causes les plus profondes de la maladie telles qu’elles sont exposées dans l’ouvrage[3] du même nom et dont la lecture très concentrée semble grandement recommandable à toute personne aujourd’hui réellement soucieuse de Santé et de maladie.
Maintenant que, grâce au Docteur Hamer et à ses émules, nous connaissons l’incontestable rôle du psychisme – et donc de l’âme – dans le déclenchement des maladies, qu’est-il dit là, dans ce Chemin de la Santé Parfaite, de réellement nouveau ?
(...)
Tout être malade est en lutte avec sa conscience. La maladie est le témoin de cette lutte. C’est la personnalité intellectuelle ou mentale – que certains appellent l’ego – qui est en lutte avec la conscience. La Guérison ne peut résulter que de la victoire de la conscience – en laquelle seulement le Vrai, le Juste et le Beau trouvent à s’enraciner – sur la souvent fausse appréciation exclusivement intellectuelle de la personnalité frontale.
(...)
Cette auto-plongée dans l’inconscient (dont l’existence n’est plus mise en doute par aucun psychologue ou thérapeute) afin d’en reconnaître la vraie nature (extérieurement, la plupart des gens s’efforce{nt} de donner aux autres une bonne image d’eux-mêmes, laquelle correspond rarement à la réalité), est assurément, plus difficile et plus exigeante que d’absorber de quelconques pilules prescrites par un «docteur» (sensé être très savant mais qui, bien souvent, ne connaît que le corps physique ne représentant que la plus petite part de la personnalité humaine intégrale) ou de se soumettre à des traitements chimiques ou interventions chirurgicales n’agissant que sur le corps.
C’est grâce à son Humilité et à sa soif de reconnaître le pourquoi que Muriel est remontée jusqu’à la racine du vouloir qui a déclenché le cancer en elle. Et c’est grâce à cela qu’elle a pu guérir et remercier la Vie qui, à elle comme à chacun de nous, a donné sa vie, vie de l’esprit, de l’âme et du corps, vie qui, toujours, doit demeurer, dans l’Amour véritable, au Service de Celui Qui la créa.
Le récit de Muriel se termine par de magnifiques paroles sur l’Amour, l’Amour vrai, lequel n’a rien de commun avec la «guimauve» aujourd’hui faussement appelée «amour», des paroles nées – cela se ressent! - d’une profonde expérience vécue personnelle.
Puisse cet authentique Amour – lequel est un Don de Dieu - permettre à chacun de progressivement remonter vers la Source de toute Vie dans le merveilleux état spirituel, animique et corporel que procure une Santé Parfaite![9]
L’éditeur
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Et c'est ainsi que commence le témoignage de Muriel:
"Ce n’est, a priori, qu’une simple formule et pourtant elle chante à mon oreille comme une Mélodie joyeuse !
Car c’est bien une Joie profonde que j’éprouve en ce jour où enfin je me décide à écrire ce témoignage personnel sur mon expérience de ma lutte contre cette maladie grave:
(...)
[1] Alfred de Musset («Les Nuits»).
[2] Alfred de Musset («Les nuits»).
[3] «Le Chemin de la Santé Parfaite» de David & Alexandra de la Garde, chez Les éditions de L’Art de Vivre.
[4] Concernant le corps physique, le proverbe dit: «Les maladies s’en viennent à cheval et s’en retournent à pied»…
[5] à ce sujet, la Prophétie de Jean de Jérusalem dit: «Il faut aider pour maintenir.»
[6] Dans le cas de Muriel, ses médecins étaient très surpris de voir son énorme tumeur complètement disparue. Ils ne s’attendaient donc pas à ce que le seul traitement médical produise un résultat aussi concluant.
[7] Aussi appelé «libre-arbitre» par les philosophes.
[8] «Psyche» (à l’origine du mot «psychique») vient du grec et «Anima» (à l’origine du mot «animique») vient du latin, mais les deux, en français, signifient «Âme».
[9] «Le Chemin de la Santé Parfaite», par David & Alexandra de la Garde, chez Les éditions de L’Art de Vivre : http://editionsartdevivre.over-blog.com et http://www.lulu.com/lartdevivre.