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Sites Amis
Depuis l’existence de «La France en Action»[1] l’on sait déjà que «Vivre c’est possible!»[2].
Manger Bio, tous nos lecteurs seront d'accord sur le fait que c'est Bien!
Mais vivre sans manger, est-ce possible? Et est-ce bien «raisonnable»?
Ce serait pourtant le choix déjà fait par quelque trois cent mille êtres humains sur la planète Terre… (!)
Une révolution silencieuse serait-elle ici en marche?
Ou un nouvel "Art de Vivre" sain et longtemps?
Si l’on croit en l’Au-delà et si l’on en croit Anthony Borghia, porte-parole du révérend Hughes Benson, l’auteur du récit «Ma vie au Paradis», dans les plans déjà élevés de l’Au-delà l’on peut manger ou bien ne pas manger… Manger serait donc là davantage un plaisir qu’une nécessité, mais la grosse différence c’est que dans l’Au-delà l’on n’a pas de corps terrestre à nourrir!
Il est facile de concevoir que, dans l’Au-delà, le corps de l’âme, d’une autre nature, n’a pas, quant à lui, forcément besoin de nourriture solide mais sur Terre, c'est quand même autre chose, non?
Ne pas manger, quels inconvénients?
En particulier, c’est en mangeant ensemble – donc collectivement - son pain que l’on se fait des co-pains. Manger est donc un acte éminemment social. Partager fraternellement le pain ou le reste crée du lien.
Si l’on supprime la nourriture terrestre, alors il faut avoir autre chose à partager...
Ne pas manger, quels avantages?
Ils sont nombreux: économie de temps, d'argent, d'énergie, etc.
Mais c’est, en particulier, tout simplement, le moyen d’accéder à l’indépendance absolue, à la totale Liberté de l’être.
En ayant soi-même expérimenté que manger n’est pas indispensable à la survie même terrestre, par le fait même la peur de mourir de faim n’a plus de raison d’être et donc disparaît.
Après avoir fait cette expérience ne serait-ce qu’une seule fois, qu’ensuite l’on décide ou non de recommencer à manger ou bien de {continuer à} ne plus manger, l’on sera devenu libre à l’égard de la nécessité de toujours trouver de la nourriture physique pour pouvoir continuer à vivre.
Un interpellant exemple
L’impulsion à rédiger le présent article est née d’une récente rencontre, la rencontre avec un homme d’une cinquantaine d’années qui, en 2006, ne mange plus depuis sept ans.
L'avoir en face de soi, non pas "évaporé" ou asthénique mais bien ancré dans son corps et en pleine forme, cela interpelle!
Pour préserver son anonymat, nous allons simplement l’appeler ici Dominique.
Voici quelques fortes paroles extraites de son témoignage:
«Manger ne sert à rien.»
«C’est de l’intérieur que l’on s’use.»
«C’est le trop plein qui nous use.»
S’il est dit «Tu gagneras ton pain à la sueur de ton front» cela implique qu’il faille transpirer beaucoup pour éliminer les toxines liées à ce qui a été absorbé.
«L’homme qui ne mange pas ne transpire pas.»
«Un homme qui transpire est déjà fatigué.»
«Quand l’estomac rétrécit, le cœur gonfle.»
«L’estomac peut servir à autre chose qu’à manger.»
«Tous ceux qui croient prendre sont pris.»
«Quand on n’a pas de crédit on n’est pas crédible.»
«La maladie n’est pas une nécessité.»
«Si vous ne prenez trien {à manger}, vous pouvez avoir toutes sortes de soucis sans prendre une ride.»
«La mort n’existe pas; nous l’avons inventée en mangeant.»
«Celui qui ne mange pas ne meurt pas.»
(Se nourrir pour mourir, un comble!)
«Apprenez à avoir faim et vous n’aurez plus froid.»
« La régulation thermique est le fait du plexus, au niveau de l’estomac.»
«On est là pour ça: ressentir!»
«On ne peut pas peser 90 kilos si l’on ne mange pas.»
«Le savoir acquis devient connaissance par l’expérience.»
«Ne pas s’empoisonner, telle est la règle pour les enfants.»
[1] Mouvement politique français apparu vers 2003…
[2] Titre du livre de Jean-Marc Governatori, président de «La France en Action».
Fête de l'Automne
à Plounéour-Menez (15 kms au sud de Morlaix)
Samedi 11 novembre 2006
de 10h à 20h à la salle polyvalente
Programme
10 h: Assemblée générale de l'association Fête du Vivant, ouverte à tous.
11 h: Construire des toilettes sèches, une solution simple pour économiser l'eau
Marielle RICHARD exposera les résultats de l'enquête nationale réalisée en 2006 par Empreinte, et proposera une schéma de construction pour le jardin, à la portée de tous. Un exemplaire a été réalisé à la ferme Goueled Ker et pourra être visité.
12 h: Apporter son pique-nique
14h: Rencontre avec Annick BOENNEC, auteur du livre ANANDA paru aux éditions Hélios, cet automne.
Ce roman autobiographique raconte la randonnée d'une femme de la Côte Nord du Finistère jusqu'à Huelgoat dans les Monts d'Arrée, et sa rencontre avec un enfant mystérieux qui lui parle du sens de la vie, de l'amour et de la communion avec la nature.
Séance dédicaces.
15 h: Conférence de Jean-François ROUDAUT: Comment parvenir à vivre une vie nouvelle dans une "oasis"?
Le conférencier témoignera de la démarche qui, partant d'aspirations communes à une vie nouvelle, suscite l'apparation d'éco-lieux pouvant être appelés "Oasis en tous lieux" partout où vivent de telles aspirations.
18h: "Démons et Merveilles", un spectacle de contes avec Loïg PUJOL.
Sans âges, sans frontières, sans limites, sans localisation exacte, la forêt des Démons et Merveilles regorge de glaciers, de montagnes ennneigées, de cités magnifiques, de grottes et de cavernes, d'océans, de fleuves, de ruisseaux.. et tout le monde la connaît!
Participation: journée sans spectacle: 10 Euros (gratuit pour les moins de 12 ans) et spectacle de contes 5 Euros (tarif unique).
Pour en savoir plus: Cliquer sur Fête du Vivant
Lieu pédagogique et d'éducation à la pratique de l'éco-citoyenneté
La visite débute à 15 h précises et se termine vers 18h 30. entrée: 5 Euros.
les visites de groupes (en dehors des dates fixes) sont retenues sur rendez-vous ; entrée : 130 euros ou 5 euros/ personnes pour plus de 25
La journée: projet de maison, compost?
9h 30 à la maison autonome jusqu'à 18h30, 40? + apporter son repas pour le samedi midi, Pour les personnes venant de loin, nous conseillons la visite du samedi et la journée du dimanche: inscription: 10 € d'arrhes
Les W E: alimentation, chauffe-eau solaire etc.
9H30 à la maison autonome jusqu'à 18h30 le dimanche, 100 € + apporter son repas pour le samedi midi. Les 2 autres repas sont fournis pour 10 € chacun inscription: 20 € d'arrhes
Les éditions La maison autonome
Livre: «De la maison autonome à l?économie solidaire» de Patrick Baronnet
La 4ème édition montre à l'évidence l'intérêt pour ce livre pratique, clair, ouvert sur un mode de vie plein d'avenir. 18,30 Euros à l'ordre de: La Maison Autonome
Livre: « La pratique du compost et des toilettes sèches» de Eric Sabot
Un guide précieux pour valoriser tous nos déchets organiques: pratique, pédagogique, très innovant.
12 Euros à l'ordre de: La Maison Autonome
D.V.D.: «La maison 3 E»
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Détails des activités
Autonomie électrique: Eolienne, photopiles, chauffe-eau solaire , économies.
Autonomie en eau: éolienne de pompage, captage des eaux pluviales et stockage en citernes pour alimenter la maison en eau potable, toilettes à litières. Epuration des eaux usées par filtres plantés.
Visite de la maison 3E: Architecture solaire passive, paille terre, isolation:
Architecture moderne: structure bois de 84 losanges en chaux-chanvre.
Cette visite propose de nombreuses idées concrètes ainsi qu'une réflexion sur notre mode de vie et ses conséquences. Habitat, alimentation, santé, jardin cultivé en biologie depuis vingt ans etc.
JOURNEE: projet de maison: Patrick et Brigitte BARONNET
Cette journée a pour but de vous aider dans vos projets d’habitation ou de rénovation. Prévoir le long terme dans une vision globale et cohérente, éviter les écueils les plus fréquents, exprimer et vivre les convictions profondes qui animent vos projets. Les explications détaillées des différentes phases de la construction de la maison 3E: fondations, ossature bois, paille, terre, isolations, serres, stockage thermique, poêle de masse, et la visite approfondie de la maison autonome sont les supports concrets pour mieux répondre à vos attentes. Les échanges sur nos habitudes et modes de vie (alimentation, santé, éducation, réflexes culturels), notre expérience jointe à celles des participants font de cette journée une expérience passionnante et conviviale qui nous aide à choisir avec plus de liberté notre cadre de vie. Construire sa maison, c’est se construire en révélant qui nous sommes
JOURNEE: jardinage, compost et toilettes sèches: Eric SABOT auteur du livre : la pratique du compost
Le matin: Apprendre à recycler tous les déchets de la cuisine, du jardin et des toilettes à litière, afin d'optimiser la fertilité des sols et la vitalité des cultures. Etude des enseignements de Jean Boucher et Joseph Országh – à l'origine des expériences menées à la Maison Autonome – en les reliant à vos besoins concrets.
L' après-midi: Elaboration d'une" cellule de paille préactivée ", constitution d'un tas de compost équilibré, suivi d'un épandage dans le jardin du compost déjà mûr. Etude de l'équilibre minéral d'une terre et rôle des associations végétales
Participer à ce stage, c'est aider la terre à produire sain et en abondance, renforcer notre santé en mangeant ses produits. C'est aussi connaître et transmettre une précieuse connaissance.
W-E : construction d’un chauffe-eau solaire: Xavier RICHARD diplômé énergie-environnement
Ce stage a pour objectif de vous permettre, sans compétences particulières, de fabriquer et d’installer un chauffe-eau solaire simple, fiable, durable, performant et d’un coût dérisoire.
Principes de l’énergie solaire, composants et architectures de montage.
Adaptation du système aux objectifs spécifiques de l’auto construction Rapport : prix - performance, écobilan des différents matériaux, Points faibles courants des installations auto construites, Solutions originales pour y remédier. Assemblage complet du capteur.
Ce stage est d'une importance capitale pour préserver sa santé, menacée aujourd'hui par une dégradation généralisée des produits et des croyances alimentaires. Outre la confection des deux repas pris ensemble le samedi soir et le dimanche midi, nous étudierons les lois de la vie et de l' hygiène vitale à travers les notions nutritionnelles, liées aux nouvelles approches concernant les calories, les vitamines, les acides gras et les graisses fluides, le rôle réel de l’eau, l'incidence des aliments sur l’immunité et le système nerveux, les substituts aux produits carnés, laitiers et ceux contenant du gluten, les graines germées, algues, lactofermentation et produits séchés à basse température. Un Week-end qui nous responsabilise sur notre propre santé et sur celle de la Terre.
GITES : Mr et/ ou Mme CHATELLIER : 02 40 07 62 84 GIRARD : 02 40 28 21 86 DAUFFY : 02 40 55 50 26 URIEN : 02 40 87 98 75 LALLOUE : 02 40 07 08 07 HAREL : 02 40 97 89 07 PLANTARD : 02 40 51 42 79 |
A partir de REDON: passer par DERVAL
DERVAL : direction CHATEAUBRIANT.
A la sortie de DERVAL prendre direction ISSE
A ISSE , prendre direction CHATEAUBRIANT sur 4 Km
Dans la forêt, tourner à droite vers MOISDON (D. 235)
Après 2 Km: Parking
A partir d’ANGERS: Périphérique vers NANTES:
Sortie CHATEAUBRIANT
A CHATEAUBRIANT: rond point: à gauche, Dir. Nantes , St Nazaire:
Puis 2 rond points. Au 2ème Dir : ISSE sur 7 km
Dans la forêt: à gauche Dir: MOISDON sur 2 km: Eolienne , Parking
Synd. d'initiative Chateaubriant : 02 40 28 20 90
Camping :Chateaubriant: 02 40 8114 38 Treffieux: O2 40 51 48 42
La Meilleraye: 02 40 55 20 06
Inscription: journée ou Week end
Nom: ………………….
Adresse: ……………….
Mail.: …………….
Stage ou journée de : …………………..
Date: …………………………
Nombre de repas ( pour le W-E seulement ): ……………..
Je verse ……. € d'arrhes: chèque à l'ordre de "la maison autonome"
Adhésion à l’association H é o l
Nom, prénom……………………..
Adresse ……………………………
Mail ………………………………...
Je verse 10 € (ou plus):
BON VENT!
Message relayé
Réseau "Sortir du nucléaire"
Fédération de 759 associations
Communiqué du samedi 30 septembre 2006
(+ lire ci-dessous la revue de presse)
EPR: avis favorable de la commission d'enquête publique
Le Réseau "Sortir du nucléaire" appelle à
la mobilisation le 17 mars 2007
5 manifestations simultanées
à Rennes, Lille, Strasbourg, Lyon et Toulouse
Par conséquent, l'humanité actuelle consomme trop et hypothèque gravement les ressources naturelles des générations futures.
Si aucune démarche concrète de réel développement durable n'est urgemment entreprise, en 2050 l'humanité consommera deux fois ce que la planète peut produire en ressources naturelles…
Peut-être…, mais, à ce rythme-là, en mangeant l’Arbre de la Terre et non plus seulement les fruits, pour combien de temps encore?
En 2050, au rythme de progression actuel, l'humanité consommera{it} deux fois ce que la planète peut produire en ressources naturelles : c'est ce qui ressort du rapport Planète Vivante 2006 du Fonds Mondial pour la Nature, (sigle anglais WWF: World Wild Fund), présenté le 24/10/06 et qui décrit l'état de la biodiversité au niveau global et la pression sur la biosphère due à la consommation humaine de ressources naturelles.
C’est en 1998 que le WWF a, pour la première fois, initié le Rapport annuel Planète Vivante pour mieux faire connaître la situation du Monde naturel et l'impact des activités humaines sur celui-ci.
Le rapport se base sur deux indicateurs: l'Empreinte Ecologique, qui mesure l'étendue de la demande humaine sur les écosystèmes et l'indice Planète Vivante, qui rend compte de la santé des écosystèmes de la planète.
L’Empreinte écologique mondiale
C’est au cours des années 80 que l'empreinte écologique globale de l'humanité entière, qui se calcule en évaluant la surface productive nécessaire pour répondre à sa consommation de ressources et à l’absorption des déchets produits, a commencé à dépasser la biocapacité globale.
Depuis lors, chaque année, le dépassement a augmenté, avec une demande excédant l'offre d'environ 25 % en 2003, atteignant ainsi 14,1 milliards d'hectares globaux. Rapporté à un être humain individuel, alors que chacun n’a, enfonction du nombre de Terriens vivant à la surface de la Terre (soit, en 2006 le 28/10 à 14H00, plus de 6,585 753000 milliards) le droit qu’à 1,8 hectare global, cela correspond déjà à 2,2 hectares globaux!
Cela veut dire qu’en moyenne, en globalisant toute l’humanité, l’individu moyen dépasse déjà ce à quoi il a droit de 0,4 hectare global. Cela n’empêche évidemment pas que le dépassement des Américains du Nord ou des Européens (voir plus bas) soit considérablement plus élevé!
Selon un autre point de vue, cela signifie qu'il faudrait à peu près un an et trois mois pour produire les ressources écologiques consommées en une année. Soit, chaque année, trois nouveaux mois de retard, ou une année de retard supplémentaire tous les quatre ans! Selon le WWF, l'humanité consomme donc déjà largement trop et, en conséquence, hypothèque déjà gravement les ressources naturelles des générations futures.
À l'échelle de la France, les chiffres ne sont guère meilleurs. Selon le WWF-France, l'empreinte écologique de la France compte parmi les douze plus mauvaises sur les 147 pays référencés.
Alors qu'un habitant de la planète devrait utiliser au maximum 1,8 hectare «global» (évaluation moyenne par habitant de la superficie disponible biologiquement productive), compte tenu des capacités de régénération des ressources naturelles, un Français en utilise 5,6 ha. Nous sommes donc débiteurs par rapport à tous ceux qui exploitent moins de 1,8 ha comme c'est le cas d'un Indien, d'un Vietnamien, d'un Péruvien ou d'un Soudanais, souligne le WWF.
Sur la base d'une répartition équitable des richesses entre les plus de 6,5 milliards de Terriens (pour un décompte exact en temps réel, cliquez ICI), nous consommons donc, nous les Français, avec un taux de 3,1, plus de trois fois ce à quoi nous avons droit.
C'est notre consommation énergétique (énergie fossile et nucléaire) qui pèse le plus lourdement dans notre empreinte (plus de 50%), assure le WWF. Les pays voisins comme les Pays-Bas (4,4ha) et l'Allemagne (4,5 ha) sont bien plus performants dans ce domaine. Le palmarès des plus mauvais élèves de l'empreinte écologique revient aux émirats Arabes Unis (11,9 ha), aux états-Unis (9,6 ha) et à la Finlande (7,6 ha).
Biodiversité
L'autre indice de ce rapport, l'Indice Planète Vivante, mesure l'évolution de la diversité biologique de la Terre. Il utilise les tendances des populations de 1313 espèces de vertébrés - poissons, amphibiens, reptiles, oiseaux, mammifères - provenant de tous les coins du monde. Il est calculé comme la moyenne de trois indices séparés qui mesurent les évolutions dans les populations de 695 espèces terrestres, 274 espèces marines et 344 espèces d'eau douce, note le rapport.
Résultat: entre 1970 et 2003, l'indice a diminué de 30%. Cette tendance globale semble indiquer que nous dégradons les écosystèmes naturels à un rythme sans précédent dans l'histoire humaine. Ce déclin est également présent pour les indices terrestres, marins et d'eau douce individuellement considérés.
Le message résultant de l’examen de ces deux indices est clair et pressant: Au cours des 20 dernières années nous avons excédé la capacité de la Terre à soutenir nos styles de vie et nous devons arrêter d’urgence. Nous devons, sous peine de dommages irréversibles, rééquilibrer notre consommation et la capacité de la Nature à se régénérer et à absorber nos déchets, prévient le WWF.
Conclusion: Afin de ne pas demeurer sur un constat purement négatif, le rapport propose, toutefois, ppour finir, un "scénario de sortie de crise" d'ici 2050 permettant à la fois un développement réellement durable et une restauration progressive de la biocapacité.
Les futurs rapports, lors des prochaines années, permettraz de savoir si ces recommandations sont ou non suivies, de sorte que la crise apparaisse ou non comme {in}évitable...
Jusqu'à quand va durer l'inertie des politiques et de la masse? Y aura-t-il encore une réaction salutaire à temps? A chacun de répondre. Certes, par sa parole mais aussi et surtout par ses actes!
Là s'applique la parole: "Le Futur n'est pas à prédire; il est à bâtir"!
Source: http://www.wwf.fr/documents/rapport_planete_vivante_2006
sur l'environnement?
A combien de planètes avons-nous droit?
Si tout le monde vivait comme un Français, il faudrait 2 planètes supplémentaires!
Donc trois planètes en tout!
Et si c'était comme les Américains des Etats-Unis c'est pas moins de 7 planètes qu'il en faudrait!
Or nous n'en avons qu'une pour tout le monde!
Pourtant, il est possible de minimiser notre impact sur l'environnement grâce à des gestes écologiques simples, non seulement bénéfiques pour notre santé et pour l'environnement mais même pour notre porte-monnaie, sans pour autant revivre comme à la préhistoire...
Nous pouvons agir dans tous nos lieux de vie: maison, travail, transports, vacances...
L'empreinte écologique
L'empreinte écologique est une mesure de la pression qu'exerce l'être humain sur la Nature et sa planète.
C'est un outil qui évalue la surface productive nécessaire à une population pour, en fonction de sa consommation, s'approvisionner en ressources diverses et, simultanément,aussi assurer la résorption de ses déchets.
Par exemple, le WWF (World Wild Fund) a mesuré l'empreinte écologique de la France.
A l'échelle du pays, si nous vivions en autarcie, il faudrait presque une France supplémentaire pour répondre à nos "besoins", si bien que, sur le long terme, notre mode de vie actuel n'est absolument pas soutenable ("sustenable development" est l'expression anglaise correspondant à la notion de "développement durable").
Sensibiliser, Eduquer et Former.
Pour diminuer notre empreinte écologique individuelle et/ou globale, il est indispensable que chacun modifie son comportement au quotidien.
Le calcul de l'empreinte écologique fait partie des actions de sensibilisation engagées par le WWF France et d'autres organisations écologiques pour préserver l'avenir de la planète et transmettre à nos descendants une planète encore vivante.
Et si vous calculiez la vôtre!...
En savoir plus sur l'empreinte écologique
Jouez avec nous au grand jeu Selon ce que l'on croit savoir, la civilisation pascuane, c'est-à-dire celle le l'île de Pâques au large des côtes chiliennes, se serait brusquement éteinte, après une réduction drastique et brutale de la population, par une sorte de collapsus écologique. La cause en était précisément - sur une surface précisément {dé}limitée par la relativement petite taille l'île - l'exploitation inconsidérée se transformant en pillage des ressources naturelles par la trop proliférante population pascuane, ayant rapidement abouti à l'épuisement des sols, donc à la désertication toujours suivie par la famine... Cette triste histoire des Pascuans ayant détruit leur cadre de vie a, par métaphore, inspiré à Michel Tarrier son "jeu de l'île de Pâques" consistant à refaire, cette fois à l'échelle de la Terre entière, la même tragique erreur que celle commise par les Pascuans, ce qui, bien évidemment, sans rapide modificatiàon de la trajectoire présentement suivie par l'humanité de la Terre ou sans intervention supra-terrestre, ne pourra aboutir qu'au même dramatique résultat... Alors, qui veut {ne pas} jouer!?!
de l’Île de Pâques!
La mégalomanie autodestructrice
La mégalomanie autodestructrice
Vivre dangereusement, comme des imbéciles… L’animal humain est joueur devant l’Éternel…, d’autant plus joueur qu’il est conscient des hauts risques. Question d’adrénaline sociétale, peut-être… Et les jeux nocifs, fatals à l’environnement ne manquent pas dans ce nouveau bazar dont il n’y a plus que les vitrines et les discours-camelots qui soient encore «verts». Un jeu des interdépendances comme «l’effet-papillon», celui des derniers survivants sur un espace en déperdition comme «le syndrome du Titanic», sont désormais distractions courantes aux quatre coins du Globe. On s’est également bien accoutumé au «grand bingo contre l’Afrique», et «échec et mat sur l’Amazonie» nous tient encore en haleine. Mais le kit «peuples premiers et leurs terres à jouer au poker» reste le divertissement le plus ancien, le plus vendu, le plus rentable aussi. Loin du jeu de hasard, sans grande patience, il ne dépend que du rapport de force.
Une soucieuse éducation aurait pu institutionnaliser «le jeu de l’oie»… L’oiseau annonçant symboliquement le danger au fil d’un parcours en spirale, en labyrinthe initiatique, les joueurs apprendraient ainsi à bien connaître le Monde, à l’aimer pour mieux le respecter, plutôt que de l’anéantir à coups de dés. Il n’en fut rien et c’est Terminator qui servit de modèle éloquent à une multitude de jeux de rôles. Quand il s’agit de choisir un guide, ce seront donc partout et toujours des gens du type Arnold Aloïs Schwarzenegger qui recevront l’assentiment démocratique, tandis que des érudits, humanistes et pacifistes de la trempe d’un René Dumont seront systématiquement renvoyés à la case départ.
Le jeu de «l’Île de Pâques», un vrai jeu de c... C’est ainsi que sur l’échiquier de la Terre, le jeu écologique estimé le plus drôle est bien celui de «l’Île de Pâques». C’est presque un plaisir des dieux et il ne requiert pas obligatoirement un écosystème insulaire. Universel et intemporel, il peut se jouer sur mer comme sur terre. Un littoral, une montagne, une vallée, une forêt, voire même un désert, peuvent parfaitement faire l’affaire, sous toutes les latitudes, sous tous les bioclimats, à tous les étages de végétation. C’est comme un grand mikado des écosystèmes, un puzzle avec le damier de la biodiversité, dont on use et abuse, Il n’est même pas nécessaire de demander l’autorisation, laquelle n’est jamais refusée si elle implique l’intérêt d’une grande quantité de joueurs. Les cartes truquées sont acceptées. C’est pour ça que c’est un jeu sympa, qui rencontre actuellement un énorme succès un peu partout dans le monde!
En dépit des apparences, ce n’est pas un jeu éducatif. Ce n’est même qu’un jeu d’argent pour opportunistes, où l’on doit miser, par exemple, sur des régions encore riches en biomasse forestière, ou potentiellement favorables à l’agriculture productiviste, ou bien mieux encore sur les derniers territoires d’or noir. Le jeu de «l’Île de Pâques» ne se joue pas qu’en famille ou entre amis, il peut être d’un usage étatique. Le Nouveau Monde organise actuellement des tournois permanents, en plusieurs manches, et leurs «réussites» font dire que l’équipe Bush détiendrait la martingale. Grand croupier du casino mondial, le capitalisme à masque démocratique pousse le jeu jusqu’au massacre dans cette grande marelle planétaire, où les pays ayant en gage une dette extérieure à vie jouent désespérément leur va-tout.
Les premiers joueurs (deux ou trois maximum) sont nommés «découvreurs de l’Île de Pâques» et, tant ils sont polis et bien cravatés, semblent venir d’un autre Monde, d’une planète «savante». Ce n’est hélas qu’un vernis universitaire, une apparence conventionnelle et diplomatique. Ils s’affrontent à une série de pions «sauvages», appelés «oreilles fines», qui ne cachent que leurs «parties honteuses» et qui vivent plus ou moins en autarcie sur leurs terres pourtant modestes, en harmonie avec les éléments ambiants, et qui croient voir des esprits partout. Cette première partie de jeu n’est certes pas très divertissante.
C’est quand, dans la foulée des «découvreurs», les colons schizophrènes importent une «vraie» religion, une toute autre morale, de nouvelles maladies (grippe, syphilis, variole), des plantes et des animaux allochtones, un semblant d’instruction, de bonnes manières, des projets de société agrémentés d’exportations d’esclaves, et un zest techno-scientiste, qu’ils parviennent enfin à changer les «oreilles fines» en «oreilles dures», que l’espace ludique s’anime vraiment, que les spectateurs applaudissent. Jugés ignorants et païens, les membres de la tribu des «oreilles fines» sont ainsi cruellement battus quand ils refusent de se rallier à la raison du plus fort.
Le bon joueur est celui qui fera feu de tout bois et parviendra à effacer implacablement tout ce que les «oreilles fines» avaient stupidement préservé. Tous les coups sont bons pour faire table rase, pour aboutir au chaos apocalyptique, ce n’est qu’une question de rapidité dans le jeu: déforestation habile sur tous les fronts, défrichage pernicieux, anéantissement des paysages, désertification, agriculture intensive pour les uns, organisation de famines pour les autres, éviction du monde animal, massacre du vivant jusqu’à extinction massive des espèces, minage kamikaze des ressources, mainmise sur l’eau, bétonnage obsessif, infrastructures mégalomanes et constructions pharaoniques, catastrophes industrielles, marées noires, pollution de tous les milieux, brouillards polluants chargés d’ozone, réchauffement et autres dérangements climatiques. Et beaucoup, beaucoup de bruit! Il existe une variante où, pour finaliser, on utilise des pions moutons pour couper l’herbe sous le pied à l’adversaire, et vaincre le tapis vert. D’abord inaugurée par les Chiliens et les Anglais aux dépends des restes de l’Île de Pâques, cette version obtient actuellement un succès fou sur les terres fragiles du monde musulman. Les contaminations et empoisonnements seront cyniquement volontaires. Ne même pas renoncer à l’agent orange sous couvert de guerre, à l’amiante pour vaincre les pions ouvriers, à la vache folle ou à la dioxine pour les méchants humains carnivores, aux pires potions agrotoxiques, engrais et biocides fulgurants pour contaminer le consommateur végétarien qui se croit plus malin, aux organismes génétiquement modifiés pour troubler la pollinisation et nous concocter des salades de tomates aux gènes de poisson, de virus, de bactérie, de scorpion et d’humain. Pour accélérer le jeu, une stimulation au lapinisme est exercée sur les «oreilles sourdes», quitte à lever les tabous sur le stupre et la fornication, afin d’obtenir l’appui d’une démographie galopante. Il fallait des petits pions pour la guerre, il en faut maintenant pour le consumérisme écervelé.
Pris au piège d’un jeu de dupes
Dans ce grand jeu pathétique, le but escompté en allant droit dans le mur, est la destruction globale, précédée d’une vie invivable durant quelques siècles. Dans ce déclin, et tout en jouant à la bataille, la recette est d’atteindre en moins d’un demi-siècle 10 milliards d’Homo sapiens economicus ayant accès au mode de vie occidental et nécessitant alors l’équivalent de 12 planètes en termes de ressources. C’est vraiment là que nous allons trouver le jeu désopilant
Une fois le terme atteint, les joueurs survivants se poseront l’intéressante question de savoir vers quels solstices, vers quel équinoxe étaient orientés tous ces gratte-ciel dépeuplés, toutes ces rampes d’autoroutes mortes, tous ces aéroports vides, toutes ces zones industrielles désertées et autres vestiges du temps du pétrole, témoignages accablants d’un haut niveau d’accomplissement intellectuel.
La croissance économique de l’Inde et de la Chine, le lancement d’Airbus molosses chaque fois plus générateurs de dommages collatéraux pour la biosphère, l’hyper croissance de la lèpre touristique, l’exode de hordes de réfugiés de l’environnement, le tout prochain choc pétrolier, seront donc des astuces de jeu bienvenues… pour mettre de l’huile sur le feu. À toute chose malheur est bon: remercions au passages ces guerres, ces catastrophes dites «naturelles» et ces nouvelles maladies, susceptibles d’un écrémage substantiel et sans lesquelles nous atteindrions 12 milliards et 15 planètes à piller! Comme à tous les jeux, il y a un principe: la Terre est une île. Et une morale: Détruisez l’environnement, Le Monde n’est-il pas un grand cercle de jeux? Seul la variante hétérodoxe «Qui perd gagne» est à effet nul.
et l’environnement vous détruira.
Amusez-vous bien, sachez tricher tout en vous montrant politiquement correct! Mais ce n’est qu’une illusion et, simple citoyen, notamment du Sud, vous n’avez plus le moindre joker: «Messieurs, les jeux sont faits!». C’est la grande loterie du malheur terrestre qui joue sa dernière partie, perdue d’avance.
Avertissement! Il n’est pas vraiment nécessaire de perdre du temps à discutailler, à gesticuler, à se réunir pour tergiverser, pour faire semblant de prendre des résolutions. Cette version de jeu, connue sous le nom de développement interminable, est restée au rayon des invendus des grands magasins de jeux de société. Il faut être «brefs et couillosifs.»
Cette fable pascuane, tout aussi ludique que métaphorique, est inspirée du livre de Clive Ponting, «Le viol de la Terre» («A green history of de world»), Nil édition, Paris, 2000. Histoire d’une société qui s’effondre faute d’avoir su modérer sa consommation des ressources limitées d’une île. Le destin de l’Île de Pâques a valeur de symbole pour l’ensemble de la Planète...
Michel R. Tarrier
SITE DE ROCHEREUIL à SEVIGNAC
CÔTES D’ARMOR (22)
DU 13 AU 15 OCTOBRE 2006
LE FESTIVAL DE LA DECOUVERTE
DE NOS RESSOURCES NATURELLES
UN FESTIVAL DEDIE
A LA NATURE, L’ENVIRONNEMENT,
L’HABITAT SAIN ET L’ÊTRE HUMAIN
La 1ère édition du Festival «Cœur d’artichaut» aura lieu les 13, 14 et 15 octobre 2006 sur le site de Rochereuil à Sévignac. Le lieu est magnifique et en pleine nature.
Le premier jour sera consacré à la rencontre entre les différents acteurs de l’événement. Il permettra à tous, organisateurs, exposants et partenaires, d’échanger et de partager leurs expériences, leurs idées et d’enrichir ainsi le contenu du festival.
Le festival sera ouvert au public les 14 et 15 octobre, offrant la découverte et la participation à:
o Un concept insolite
o Une centaine d’exposants
o Des démonstrations
o Des conférences
o Du théâtre
o De la musique
L’objectif est:
Ø De sensibiliser l’être humain à son environnement et à sa propre nature dans un cadre festif, de convivialité et de partage.
Ø De réunir les producteurs locaux, les municipalités, des exposants et des artistes afin de collaborer au développement environnemental local et apporter des idées nouvelles pour le respect des ressources naturelles.
Parmi les animations, nous pourrons nous amuser autour de:
* La confection de la pâte à galettes au son des percussions
* La présentation du pain biologique en forme d’artichaut
* Le théâtre sur le thème des poubelles
* Des improvisations sur les thèmes abordés au cours du festival.
COMMUNICATION CIBLÉE:
Ø Outils et supports:
>Affichages (flyers)
>Presse locale et spécialisée
>Radio locale
>Concours de dessin; enfants, adolescents, adultes en collaboration avec le magasin: Côté Nature de Cesson-Sévigné, sur le thème de: la nature, l’éco- habitat.
>mailing
Publics:
- population locale, régionale, nationale, monde agricole, élus, monde associatif,
- enfants, adolescents, centres d’animation.
L’organisation de ce festival a pour but de sensibiliser l’être humain à une vie au naturel en harmonie avec sa nature profonde et son environnement.
o Rassembler les producteurs locaux, les municipalités, la communauté des communes, des exposants, des artistes, des artisans, les personnes en situation difficile.
o Innover: L’association a pour vocation de proposer et expérimenter de nouveaux concepts d’événements en collaboration avec les collectivités territoriales, basées sur le développement de projets en faveur du renforcement de l’activité économique locale dans le strict respect de l’environnement.
o Partager: L’association se fixe également pour objectif de favoriser la réinsertion de personnes en situation difficile au travers de leur sensibilisation aux problématiques de l’environnement et du bien-être. L’association s’engage à reverser les bénéfices dégagés par les événements qu’elle organise aux différents acteurs qui y auront participé, notamment aux autorités et association locales, afin de soutenir les projets dans les domaines de l’environnement et du soutien des personnes en difficulté.
o Informer: Sur les différentes possibilités de faire rentrer dans sa vie l’harmonie avec l’environnement (l’écologie, la biologie), le lieu de vie, (habitat sain, géobiologie).
o Tri sélectif: (en collaboration, le jour de la rencontre avec la communauté des communes).
Thèmes provisoires au 12 septembre 2006:
Ø La spirale du bonheur: Paule Salomon
Ø Géo-médecine de l’habitat: Jean-Gilles Decarre-Voisin
Ø Table ronde autour de l’habitat: (lotissement en éco-habitat)
Ø La santé commence par le savoir: Corinne Gouget.
Ø Cœur d’artichaut! pourquoi? Jacqueline Nogues
Ø L’alchimie émotionnelle: Pierre Emmanuel Heskia
Ø Etre éleveur de porc: Michel Piel
Ø Comment vivre une vie nouvelle?: Jean-François Roudaut
ANIMATION
Participation provisoire de Monsieur Mahou: meilleur ouvrier de France de boulangerie.
J-B: élu champion de France de théâtre d’improvisation.
Prune: Clown
Association CŒUR D’ARTICHAUT
Béatrice Mera
La Ville-Es-Richard
Courtils
22 250 Broôns
35 630 Bazouges/Hédé
(e-mail): jaclean@orange.fr
tél.: 02 99 45 46 05
tél.: 02 96 80 05 28
port.:06 87 74 68 85
port.: 06 07 30 30 08
(e.mail:) contact@herbe-aux-anges.